BEZOLD
BIBLIOGRAPHIE.
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das Nervensystem (A. P., 1860, 168-387). — Ueb. die zeitlichen Verhältnisse welche beider
elektrischen Erregung der Nerven ins Spiel kommen (Monatsber. der k. Akad. d. Wiss. zu
Berlin, 1860, nov., 736). — Ueb. den Einfluss constanter galvanischer Ströme auf den zeitli¬
chen Verlauf u. die Leitung der Nervenerregung (Ibid., 1861, févr. 268, et mars 371).—
Ueber einige Zeitverhältnisse, welche bei der directen electrischen Erregung des Muskels aus
Spiel kommen (Ibid., 1860, décembre, 760). — Untersuch, üb. die electrische Erregung
der Nerven und Muskeln, Leipzig, 1861. —Fortgesetzte Untersuch, üb. das excitirende Herz¬
nervensystem im Rückenmarck der Säugethiere (C. W., 1864, 17-18). — Untersuch, üb. den
Einfluss des Riiekenmarckes auf den Blutkreislauf der Saugethiere \Jenaische Zeitschr. f. Med.
u. Naturw., i, 125, 1864). — Ueb. den Beginn der negativen Stromesschwankung im gereiz¬
ten Muskel (Berl. Akad.Monatsber., 1861,1023). — Ueb. die negativen Stromesschankung im
gereizten Muskel (Ibid., 1862, 192). — Ueb. die Einvirkung der N. vagi u. des Sympathicus
auf das Herz(A. Db., 1862,143; Berl. Akad. Monatsber., 1862, 316).
Ùeb. ein neues motor. Ilerznervensystem, Berlin, Allgem. med. Central. (1862, n° 67,
529-541). — Untersuch, üb. die Innervation des Herzens. Leipzig, 1863.
Ueb. den Einfluss electrischer Inductionsströme auf die Erregbarkeit von Nerv. u. Muskel.
en coli ab. avec W. Engelmann (Neue Wurzburg. Zeit., 1865, n° 129).
Ueb. die Einwirkung d. Veratrins auf die Kreislauf u. Athmungsorganeu. auf die Erreg¬
barkeit der Muskeln u. der motor. Nerven (en collab. avec L. Hirt) (Ibid., 1865, n° 129 et
1866, n° 129). — Ueb. die Einwirkung des Atropins auf die Herzbewegung bei Carnivoren
(en collab. avec F. Blœbaum) (Ibid., 1866, n° 129). — Untersuch, üb. die Innervation des
Herzens u. der Gefässe (C., W, 1866, 817-820, 833, 835; 1867, 17-20). — Ueb. die physiol.
Wirkungen des schwefelsauren Atropins (Unters . a. d. physiol. Laboratorium in Wurzburg.
Leipzig, 1867, 1-72). — Ueb. die physiol. Wirkungen des essigsauren Veratrins (en collab.
avec H. Hirt) (Ibid., avec F. Blœbaum, 1867, 73-156).
Untersuch, üb.die Innervation des Herzens u. der Gefässe (C. W., 1867, n° 23, 353-356).
•— Ueb. den Einfluss der hinteren Rückenmarkwurzeln auf die Erregbarkeit der vorderen
(en collab. avec P. Urpensky) (Ibid., 1867, n° 39, 611-613).
Untersuch, üb. die Herz. u. Gefässenerven der Säurethiere (Untersuch, a. d. physiol. Lab.
in Würzburg, Leipzig, 1867, 183-194).
J. GAD.
BIBLIOGRAPHIE. — Utilité de la bibliographie. — Il est évident que
nous n’avons pas à parler ici de la bibliographie en général, mais seulement de la biblio¬
graphie en physiologie. Il ne faut pas la dédaigner; car les recherches qu’on a faites
soi-même, si importantes qu’elles soient, ont assurément moins de valeur que les recher¬
ches précédentes faites par l’ensemble des physiologistes ou des savants qui ont étudié
la même question.
Cependant, en général, dans les ouvrages de physiologie, comme dans beaucoup
d’autres ouvrages scientifiques, la bibliographie est faite irrégulièrement et d’une ma¬
nière tant soit peu fantaisiste, avec une extraordinaire insouciance des règles les plus
élémentaires. Il n’est pas un seul ouvrage où. ne se pourraient trouver à ce point de vue
de grosses fautes ; et ni mes collaborateurs ni moi nous ne sommes malheureusement,
plus exacts que les autres.
Cependant c’est quelque chose que de savoir par où l’on pêche ; et, sans avoir aucune
prétention à avoir fait des bibliographies irréprochables, et par conséquent sans criti¬
quer qui que ce soit, on peut indiquer en quoi une bibliographie est irréprochable.
Cette imperfection dans la bibliographie est excusable en somme; car nulle part les
règles de la bibliographie en physiologie n’ont été formulées. Il est donc besoin d’une
sorte de codification, analogue à celle qui a été adoptée récemment par les mathéma¬
ticiens, puis par les zoologistes, à la suite des congrès internationaux.D. Field, en Amé¬
rique, a, en effet, pour la zoologie proposé une méthode bibliographique qui paraît excel¬
lente et qui a été adoptée à la Société zoologique de France (Noüvelle nomenclature
des' êtres organisés. Revue Scientif., Paris, 1er juin 1895, (4), ni, 684-689). Les géographes
ont aussi adopté pour la transcription des noms géographiques des mesures analogues.
Il ne faut pas que les physiologistes restent en arrière, incapables d’accomplir ce qui
a été fait pour les sciences mathématiques, zoologiques et géographiques.