VIEME
SIECLE.
bits brodes d'or, presentaient, reunis, un spectacle peu commun.
Contrairement ä Petiquette pointilleuse etablie par Napoleon, Pha-
bit militaire et le costume civil lfetaient point bannis des grandes
receptions, et le Roi lui-möme aimait a se montrer dans son magni-
{ique uniforme de
quwü colonel de 1a garde.
"Es
Couverts de brode-
d de
nes, e crolx, e-
cussons, de Heurs
j ches , les militaires ,
les prefets, les de-
U1 putes, les palrs,
contrlbualent a111s1
ä H avec les gentlls-
"h,
ßwhih ylyjivyhyvyg, ß QäM-giä hommes de 1a
f 1T Chambre, a 1a va-
talt Pepoque 0u1'e-
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, legante redlngote
4 712a
1-; ' hongrolbe des Jeu-
a Tä: Des comtes d AP"
1a pon) et lunlforme
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eclatant de Parrural
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n at 1-
Fig. 29. Coslume de presenlalion i! 1a Cour. Habils brodes or et Codnngto t
argent. Wapri-s une gravure du Pelitcozerrier des Dames, 182i. ralgnt les pegards,
tandis que le duc
de Bassano et le duc de Gaete, derniers survivants de tous les an-
ciens regimes, continuaient ä se montrer dans Phabit carre.
A part quelques me11us details, Charles X avait maintenu l'en-
quette etablie par son predecesseur. Tous les soirs, aux Tuileries,
Pecarte restait en permanence : il jouait au whist tandis que le dau-
phin faisait sa partie d'echecs. Mais sa grande passion fut 1a chasse.