Volltext: XIXe siècle (en France)

LES 
INVENTIONS 
VELLES 
NOU 
MEDECINE. 
de 1a parole humaine de maison ä maison, de ville ä ville, puis le 
phonographe donnant l'inscription de cette meme parole au moyen 
de signes convenus, emmagasinant le chant de Tartiste ou les eelats 
de Peloquence oratoire, le phonographe traite d'abord (1877) de a ven- 
triloquie artifieielle n et qui, apres eertains perfeetionnements, est 
arrive 21 produire un S011 
net- eh faeile ä reconnai-   "A   
      
tre; le luhonographe qm,     EWIJ   
        ß:- 
eontralrelnellt au tele-   "   5]; 
p 10116 BJEJ. en que que      i.   
 q,    "w. "xjfi,_  l   _V    
sorte banal, par le falt   A_      
   HE. llgsj  .l       yßj. 
de son ernplol, reste tou-        7„ f  2 
  :l"7i'ä'  "z   "  f 
Jours ä Petat de CUPIO- i),  
       Jfgsvpä. Q    
51m: de PehltJoulou m61"     Ä 
veilleux. d    
M13?         
De toutes parts, c'est    1  r  
  s 5;!         
un epanoulssement ge-   X "xix-liääijifißwgi;     
     xlkkm  l-ysä 1.    1.. 
neral et sans preeedents. ließ       
Les glowes du passe ne S_  f     
 1' sie" x  3:11:12"     
sont lulus rlen devant les  ER 
              11'73-  
deeouvertes de 1a sclence  T" 
         T? 11;?  
moderne. Icl, Pehxlr de      "e      
longue vie, le philtre 
magique du professeur 
Brown- Säquard , nouveau 
docteur Faust assurant ä 
Le duc dK-lumnle. M. des Cloizeaux M. Gounod. M. Jansseu. 
Fig. 4M.  Le Phonographe ä lütcadänlie des Beaux-Arts. (97 
avril 4889.)  Uaprös une gravure de La Physiquc populai- 
re, par E. Desbcnux. (Paris Flammarion.) 
i" C'est 1c 15 jmnvier 1878 quffldison mit son brevet pour le premier phonogmphe. Or 
bn mit; que Charles Cros nvxft, pur pll cnchetä ouvert h lüicndämie dcs Scicnces en 
däcembre 1877, indiquä Ie moyen de rcptodulrc lapnrole. 
Phomlne uno jeunesse sans fin; 1:21, le (c grisou n, gaz terrible qui, dans 
les Hancs sourds et muets de 1a terre, n'a pas encore pu ötre domestique 
par le genie de l'homme. Ici, les faiseurs de pluie; 121, le tonnerre ar- 
tificicl, et toutes les matieres foudroyantes aupres. desquelles "la 
poudre 51 canon apparaihra sans deute, avant peu, comme 1a poudre 
de perlimpinpin des feeries, (r mixtures traitresses n, dit fort juste- 
ment M. Emile Gautier dans ses interessantes chroniques seien- 
tiüques a auxquelles 011 donne ironiquement de ces vagues et doux
	        
Waiting...

Nutzerhinweis

Sehr geehrte Benutzerin, sehr geehrter Benutzer,

aufgrund der aktuellen Entwicklungen in der Webtechnologie, die im Goobi viewer verwendet wird, unterstützt die Software den von Ihnen verwendeten Browser nicht mehr.

Bitte benutzen Sie einen der folgenden Browser, um diese Seite korrekt darstellen zu können.

Vielen Dank für Ihr Verständnis.