VIEME
SIECLE.
ment documentäes, un amas de_ matiäres se suivant comp
serräes, sans titres, avec le moins d'cspace possible entre
cles; un genre qui se fait rare, dont le Journal des Deßals c
Mactes et
[es arti-
-st resteä
le type le plus parfait, traversant ainsi 10 siäcle sans presque so
modifier. Lä, ce qu'on a appelä 1a a presse boulevardiöre a), (fest-Ex-
dire les grands journaux, avant tout parisiens et mondains, ali-
M. Francis blagnard, rddacteur cn chef du Figaro.
m dc l88ß).- Faprös 1c tahlcau original apparlenani
399.
(Sak
peinl pill
1cis Magn:
mentäs
d'eaux,
par le a reportage n, vivant des öchos des salons et de
donnant les menus et les invitös de tous les o-pands
O
es villcs
diners,
les toilettes des bals et des räceptions, accordant une pluce consi-
därable au Sport, au thäzitro, aux concerts : jouruaux, aujourd'hui
nombreux, dont le Figaro, ressuscitä en 1854 par de Villemessant, se
trouvera ötre 1a personnification 1a plus parfaite, journaux ayant
mäme fini par däteindre sur les organcs dämocratiques.
L0 journal 110 s'est pas seulement döveloppä gräce au luerfcction-
nement du matäriel : 10 reportagß sous sa promiäre forme, est nä,