DIX-NEUVIEME
SIECLE.
corateur, Tarchitecte supräme; 1892 le retrouve comme il ätait
en 1840, agengant des tentures, habillant des carcasses de fau-
teuils, sintitulant märne, prötention singuliäre, a architecte d'appar-
tements
Entre Louis-Philippe et le second Ernpire 1a difference n'est pas
grande; toutefois, avec Ie roi-ciatoyen Ie mobilier 0st franchemenb
Iaid, banal, sans aucune recherche (Pindividualite; le cabinet d'un
prince Ifest guere meuble d'une fagon plus luxueuse que 1c cabinet
d'un riche Ünancier. Avec
Napoleon III 11 y a quelques
Im? tentatlves de retour Vers un
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Äzw-Qgügh i. style plus personnel 7 tout au
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W prlx remplacent les bxbelots
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sans valeur, les bols sculptes
et dores reapparalssent; Ie
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a5" pahssandre, Pebene, le chene
i; (Ietronent PacaJou et le noyer.
Fig. 392. Cabinet du prince Napoleon dans son hötel Nlais C8 retour De Se mani-
pompeien de Pavenue Montaigne. lyapres. une phoi- feste guäre que Vers 1a an,
tograplue de M. Laplanche. (Monde zlluslrc, 28 avnl
4866-) car 011 peut volr au cablnet
Cct höfel, qui fut penüant longtemps une curiositä, est aujourd'hui demoli.
des Estampes une photogra-
phie representant PEmpereur et Plmperatrice dans Ieur salon parti-
culier, salon bourgeoisement meuble par un tapissier decorateur.
Mais trois influences d'un exotisme nettement caracteristique
vaient se produire sous Ie second Empiro, Pinfluence pompeienne,
Pinfluence chinoise, Pinfluence japonalse. Le pompeien, Petrusque
fut mis a Ia mode par Ie prince Napoleon, fidele en cela a la tra-
dition imperiale qui, de tout temps, avait eu un faible pour les mar-
qucteries antiques. La (Iecoration des vases, aux arabesrlues noires,
essaya un instant de sdmposer sur Ies papiers et sur Ies etoßes,
mais sans y parvenir De meme que les fouilles gallo-romaines etaient