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vertes par les chants des convives, se continuant avec les banquets rä-
formistes de la monarchie de Juillet, avec les banquets dämocratiques
des deux Räpubliques, avec le premier banquet des maires, le {llljxlillet
1888, aux deux mille trois cents convives, pour se terminer avec les
colossales agapes du Palais de l'Industrie, en aoüt 1889, qui virent,
ä nouveau, chose unique jusqlfä ce jour dans les annales de 1a gas-
Banquet a1
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trononlie, quinze mille hommes prendre place autour de tables s0i-
gIICIISGIIICIIÜ preparees, avec leurs ecriteaux et leurs inscriptions.
RePaS münstrc, desornlais plus celebre que tous les festins de Bal-
thasal"; Pßpas froid, prepare ä l'aide de cuisines mobiles, permettant de
rötir en trois quarts (Pheure cent kilos de viande, et dbbtenir en quel-
qucs minutes deux mille cinq cents litres de cafe. Jamais Gargantua
n'aurait_'pu röver pareil iriomphe. Banquet patriotique au menu verita-
blement royal pour un tel nombre de couverts, aux cuisines, au per-