WUISINE
ABLE.
RESTAURANTS
AFES
variäs et EIPPÖÜSSEIIIÜS qui devaienl; ätre sorvis gTillös. IIardi piquait
de sa longue fourchette dhrgent los nlets choisis, et les präparait
sous les yeux du consomnlateur dont. il surexcitait ainsi Tappätit. n
Dhbord IJOPIIIiS aux seuls millionnaires et aux seuls grands sei-
gneurs, (Pahord OSSGHÜGHOHIOIÜ räservä aux a parties fincs n, 10 res-
murant sbuvrit peu ä peu aux classes bourgeoises, influantd sur les
moours intimes, bien plus que le cerclc. Döjä, aux approches de 1.830,
nombre de gmls, laissant lcurs femmes aux menus däiails du mänage,
venaient, röguliörernellt, y
(läjeuner 51 1a fourchette.
Alnsl prlt nalssancc a 1a VlC T
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rlte de Tepoque moderne, Jjiiig; ' e.
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developpant aux cotes du iwjä üggiß-H; W F
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cette arlstocmtlc cululalrc 3- I" ßäg,"
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toujours exlstante en 1890, {if-Qty lülvwaÄ
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une dämocratle sans 110m , N yävsxxul"
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malgrß les pletentlons qu dlß ü _ Qäa
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affiche. Alnslse crecrent, aux L Qä-rfc
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CUÜBb (es 1113150115 u, pu-
mior QI-dI-Q, univerggllglnent Fig. 325. Les diners ä 40 sous du Palais-Royal (type
de dineur). Vignette de Daumicr pour Paris La
connues, des specmhtes de
quartiers. Ici, los ätablisse-
ments pour les raffinäs, pourles ätrangers de nlarquo, 110 servantpas
un diner ä moins de cinquante francs; 121, los cuisines populaires, ä prix
fixe, les tables d'höte 51 l'usage de ceux qui 11'0nt pas de mänage, ou
qui rcchcrcl1e11t avant tout PÖCOIIOHÜB.
Le premier Empire et 1a Restauration avaient vu naitre les äta-
blissenlents cälfzbres : 10 gouvernenlent de Juillet popularisa le res-
taurant ä prix fixe du Palais-Royal qui, pendant longtemps, contri-
buera 21 maintenir 1a cäläbritö de ce coin de Paris, le restaurant oü
Pon 0st censä diner,
plats grands comme
microscolaiques, oü
a oü l'on regarde defiler devant soi de petits
la moitie de 1a main, des mets lilliputiens,
tout un publie (Temployes, de boutiquiers, de