ETES
CEREMONIES
NATIONALES.
VOPS
tournant
Tassemlaläe,
SllP
ton
de basse
Priez
Dieu
pour le repos de son inne. n
A ce cri lugubre, le dernier qui sera poussä pour le däfunt, 10 duc
d'Uzäs, brandissant son bäton, räpond luar un a Vive le Roi! n que
räpöte le roi (Farmes en ajoutant les titres et qualitäs du nouveau
souverain. Et alors, au milieu du silence des tombeaux, äclatent en
u11e bruyante fanfare trompettes, tambours, üfres, tandis que Passem-
bläe fait partir un formidable : (4 V ive le Roi! Vive Charles X! n
A ce souverain du passä, enterrä suivant un oärämonial dämodä
Funörailles de Victor Hugo, le i" juin 1883i
nnphc 51 1a place de In Concorde Dcssin _de M
307.
Tri(
1c döülö du corläge, de l'Arc de
P. Comba. (Zllonde illusträ.)
dans 1:1 plus autique basilique de France, le (lix-neuvienle siecle, sur
sa H11, opposera les funerailles populaires de ses hommes d'Etat,
de ses politioiens, -tels Thiers ou Gambetta, et les funerailles, e11
quelque Sorte nationales, du plus grund poete de Pepoque, Victor
Hugo. Au caveau royal de Saint-Denis, piquante opposition, le
caveau des grauds hommes, le Pantheon. Le ceremonial monar-
chique semble lfavoir disparu que pour faire place ä une mise
eu scene d'une nouvelle espece. Autrefois, les grands officiers de 1a
couronne; aujourd'hui, un melange de tous les mondes, de toutes
les corporations ou associations representees par leurs delegues; aux
cötes de FACademie, des corps constitues, des societes savantes,
apparaitront ainsi des harmonies, des fanfares, des societes d'ins-
truction et de propagmule, des
pädistes, groupes multiformes,
gymnastes et de väloci-
marchera avec des dra-
socieätäs de
et tout cela