DIX-NEUVIEBIE
SIECLE.
de voir est bien superieur a ce qifalors j'ai trouve si beau et que nos en-
enmis trouverent si redoutable n. Puis, le postface, 1a monarchie pos-
thume jugee par le souverain lui-meme : a Lorsque jappris que 1a garde
nationale, cette force sur laquelle jäätais si heureux de nfappuyer, 1a
garde nationale de Paris, pour laquelle j'ai toujoilrs eu tant de bene-
volence, qui nfavait porte au tröne, qui nfavait defendil dans l'e-
meute, et au profit de
u . laquelle on nfavait si
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souvent reproche d'a-
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Chose S111 guhere ,
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l cette garde natlonale
Fig. 21-1. Lc tambour de 1a garde nationale, baltant le rappel.
Lithographie de Bouchot. (Vers 1850) (1111 Ütalt PÜTVCUÜÜ a
aequerir une certaine
allure nlartiale, qui representait un principe eher aux elasses
moyennes, non seulement 11e devait jamais etre prise an serieux,
mais tout le temps, fut en butte aux attaques des satiristes et des
caricaturistes. Ce que Gavarni se montra pour les enfants terri-
bles, Bellange, Charlels, Daumier, Dore, le seront pour le garde
national, ridiculisant ce pauvre bizez dans son costume, dans ses
Ppätentions militaires, dans ses idees (l'ordre et de respect, inventant
la tente-abri, le fusil-parapluie pour les jours de revue, montrant ces