COSTUME 
UESPRIT 
MILITAIRE. 
d'une veritable armee. Nhvait-elle pas, luxe supreme, sa cavalerie, 
ses eclaireurs? NRätait-elle laas, plusieurs fois par an, laassee en revue 
par 1e 110i, seit aux ChanqJs-Elysees, seit 1e long des boulevards, 
sorte de parade-pro1nenade au cours de laquelle e11e luoussait des cris, 
des hourrahs frenetiques, se livrant 21 des manifestations qui allaient 
droit au eoeur du sou-   
verain, fort sensible a    .1 a;   
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eet etalage de bons      p 
 11.;    15113-1111; 
sentlments, et se ter-     1 jiäfreiita 
         
m1na1ent toujours par  (de, 131..   
1    I,   viert; 
une ample (1lb1llb111lOl1     
de eroix.  y     
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(c Par 1a garde na-      
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tlonale, pour 1a g-apde  h  M  5:11,11: 
    1111-11; 
natlonale a) te11e fut, sgpigü;    
   1m";     
au fond, 1a vrale de-  5'   3;,    
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Ace polnt de vue, deux             "(W43 
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doeuments sont earac-  {äkgßj   E;   
,    iääksäfiä  v5: P1"  .1  
tenstlques; sa lettre a       
Lafaärette , auss1tet   i  I   Ä  
apres 1a Premiere re-  "W      
vue de 1a Inilicg bour" -F.'1'b1en 6121733531 .73: fruvrs f:    
 am: rßguw].   
geolse 7 et Sa lettre ' Fig. 210.  Composition satiriqxle de Daumier sur 1a garde 
(18163 (19 Pgxi], (gxpli- nationale, pour 1a serie : n Les Bons Bourgeois. b 
,  Wapres le Charivari. 
quant d u11e fagson pre- 
cise les motifs de sa eonduite, de sa retraite paisilale en fevrier 1848. 
D'abord,1a1ettre du 29 aoüt 1830, a Lafajfette : a Temoin de 1a fe- 
deration de 1790 dans ee meme Champ-ule-Blalßs, temoin aussi de ee 
grand e1an de 1792, lorsque je vis arriver a notre armee de Champa- 
gne quarante-trois bataillons que 1a ville de Paris avait mis sur pied 
(in trois jours, et qui contribuerent si eminennnellt a repousser Tinva- 
sion, que nous eümes le bonheur darreter ä V 3111133 je PüiS fEIiPG 1a 
eomparaison; et c'est avec transports que je vous dis que ce que je viens 
xrx" SIECLE.  48