DIX-
amnvnänuz
SIECLE.
essaieront en vain de reagir contre eette disparitien de la Couleur el;
de Poriginalite personnelle; les fantaisies les plus extraerdinaires
ue pourront rien, ni les paletots plus courts que les vetements de
dessoue, laissant depasser les Pans de Phabit, ni les revers en soie,
ni les ehemises aux rayures eriardes, ni les eollets, ni les gros
boutens voyants, ni meme les tentatives repetees pour faire revivre
Phabit de eouleur, rouge, gris, ou bleu. Plus personne lfosera ar-
borer, en '189O, les nuanees elaires des elegants de 1a Restauration
ou de la monarchie de Juillet. Le tout en noir dans les Salons dores
nhdmettrait guäre le tout en blaue dans les rues boueuses.
Concluonsu. Poür l'homme comme pour 1a femme ce que le siäcle
a surtout däveloppä, c'est une moyfenne älägance qui, jadis, lfexis-
tait PEISTAlIt-PGfOiS, les riches seuls ähabillaient; aujourd'hui, tout le
monde entend Cftre mis ä 1a derniäre mode. Et donnant ainsi satisfac
tion aux däsirs de 1a multitude, 1a päriode finale du siäcle est parvc-
nue ä vulgariser ce qui, aux approches de 1800, ätait ä 1a portöe
d'une älite seule.
Fig. 196.
Frontispice du Peu-nasse des DOLMBS (1819).