COSTUME 
CIVIL 
LES 
MODES. 
raitre les chapeaux ronds et plats qui, portös a Torigine par lesjcunes 
fillcs scules, seront bientöt sur toutes les tötes fäminines. Ainsi so 
succöalörent cloches, toques, tyroliens, petits matelots, 111010113, 
"tourtes: un instant, le tricorne Louis XV revint a 1a mode; un ins- 
tant, les casquettes a 1a jockey ramenzärent los singuliers couvre- 
Chefs du Consulat. 
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Le second lam- 5M  
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plre avalt 00111-   
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mence avec les r        
           
vastes chapeaux    Ö  j;    
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fermes; 11 ihnssalt    f!  
am les clwpeaux      
lllhputlens; 101,   -1   
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des dls ue" clrcu-   
lalres, {lanques de  [f   R 1A  
plurnes, (1 algret-        
tes, dblseaux, de  "äälggm-     1526.11;  
Heurs? lav les Ca"  , k     "g':'115 6-5 
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potes, debarras-    v"?  ,  
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söes du bavolet :  E  ijgj?  
un petlt rond de     
dentelle, retcnu      
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sur la täte par des    
  Exvusez! des pains cfamounition derriere leu telvs!!! 
brldes passant der- 
1-ere laoreiue Uu Fig. 189.  Croquis Parisiens.  Caricature de Grfrvin visant lcs 
u  chapeaux, lcs chignons ct lcs crinolines du jour. (Charivari, 1867.) 
jour vmt oü, sur 
cette assiette, se placärent des rubans trainant jusqu'a terre; ce fut 
le a suivez-moi, jcune homme 1) ,  
Comme sous le premier Empire, mais d'une fagon plus accentuäe 
encore , le costume finit par afficher ses tendances a la mascullnlsa- 
tion; cela tenait aux vestons, aux jaquettes, aux habits; pela tenalt 
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aux chapeaux, aux hautes ombrelles sur lesquelles, un mstant, s ap- 
puyärent les Glägantes, aux cannes inauguräes sur les plages, aux 
robes courtes; cela tcnait encore aux inüuences militaires, aux bran-