LES
SALONS
LES
CLU
USAGES
M OEURS.
au grand ätonnement de 1a sociätä dhlors. une nouvelle ägalitä
11011 prävue, Pägalitä dutabac, ainsi observäe par 111"" de Girar-
din : a Deux jeunes gens fort bien mis se promenaient dans une allöe
des Champs-Elysäes; ils se donnaient le bras. Ijun des deux fumait.
Un homme affreux vint ä passer, un homme sale, dägoiltant, une
Sorte de Robert Macaire däsenchantä, fumant un cigare suspect; eh
bien! ce malheureux fut pour les jeunes dandys une apparition des
Anlatcurs de libcrtt
rös une lill
ogrziplzie originale dßtug.
ruquct (vors 1832).
4' Les trois pcrsonunges min milicu repräsuntent G111
fumes...i1 fume... nous fumons H
inud, Cnvuignnc, Trülnt. (Jette cstumpe au bns de laquelle on lit
v est une allusion ä 1a cröution de 1a bbrivflö des droits de 11110111:
plus agräables; ils allärent droit ä lui, avec empressement; lui, leur
räpondit par un malin sourire, et celui des deux qui fumait eut le
Courage Japprocher sa gracieuse {igure de cette face hideuse, et
cremprunter ä ce cigare impur un peu de feu pour son cigare äteint. u
Pareil spectacle pouvail: encore ätonner e11 1844 : depuis, 1a loi
du fumeur a fait son chemin. bOn peut äviter une poignäe de main;
qui a du feu n'en refusera jamais ä qui lui e11 demande.
Les clubs qui ont propagä tout cela, se sont bien modifiäs depuis
1870. Non seulement ils lfexercent plus sur 1a vio mondaine l'in-
fluence (Pautrefois, mais encore ils ont vu se cröer, consäquence