DIX-NEUVIEME
SIECLE.
soiräes masquäes, les invitations portaient : a 1a beautä sous le
masque est de rigueur n inauguräes en 1868, qui resteront Fexpres-
sion la plus parfaite d'une äpoque et däun monde ä jamais disparus,
par leur singulier Inölange cPälägantes somptuositäs et de libertäs
quelquefois risquäes.
Et mainte11a11t,]'art ätant partout, les concerts rägläs, les comädie
Une soiräe chez M. Arsöne Houssaye (vers 1868).
de Jules Chöret pour Les Szeccäs du, jour,
D'apr(:s 1a lithographie originale
Album thäätral.
de paravent iigurant au Programme de tous les lalaisirs cc mondains n,
le moment n'est laeut-etre pas eloigne oü Partiste depossede de son
a originalite v montrera, ä son tour, pour ces bruyantes exhibitions
Pantipathie que manifestait jadis la bourgeoisie paisible de 1830.
Sans faire l'histoire des Salons cäläbres, je ne puis cependant,
passer sous silence les maisons qui, duranifun temps plus ou moins
long, donnärent asile ä Pesprit, ä la sociätä polie du moment et eurent