LES
SALONS
LES
CLUBS,
USAGES
MOEURS.
(Pautres demandant, comme Pindiquaient les traites speciatlx
cars ces jeux eurent leur litterature et leur imagerie (c de la ga-
lanterie, de Pesprit, ou tout au moins, certaines connaissances, de
Pattention et de la memoire. a) Ce fut Pepoque du pont (Fanwur, du
baiser d [a capucine, du (Ilzeval dllristote, de la SZLZZUC, penitences
plus ou moins piquantes par les mystifications qu'elles imposaient,
poses plus ou moins lalasti- an
ques auxquelles laarticipaient, p
äla fois, jeunes gens et jeunes 3
lllles, qui se pratiquaient dans
"e läwifrllq? v
les salons et dans les jardins.
Jeux mnocents comme 011 les
appelait, qui captiverenh la
societe la plus rigide du sie-
cle, qui (lurent leur succes l?
aux conditions toutes spe- b,
mite existent alors entre gens
du menle monde, quine pour-
raient plus sfexecuter dans 1::
les salons sietrangemenbme- aß 17 (6
langes de 1890. De tous ces ßw" a Ö Yzww"
les wem
caracteristiques sont restes;
tels pigeolz vole, le piecl-cle-Öwzzß la scllette, lapincclte, les petits
papiers qui, sousle second Empire, devaient jouir, ä nouveau, d'une
vogue considerable.
Dans ces memes Salons, Pesprit inventif du siecle trouvera mille
choses pour occuper, pour distraire. Les soirees, les reeeptions se
changeront ainsi peu ä peu en representations litteraires 011 musi-
cales; on jouera 1a comedie et meme de simples charades, on fera
des lectures, on donnera des coucerts, 011 popularisera les bals mas-
quäs.
Avoir
des comädiens,
des
chanteurs,
pianistes,
des
ofTrir ä
SOS