CLASSES,
MOEE
UENCES,
INFL
THEORIES
SOC
IIALES.
1840 par M. Ilarmel, pres de Reims, ou du Frunilzletäre de Guise
dans l'Aisne, dont M. Godi11 jetait en 1859 les prelniefs
fondenments, je eite les deux etablissements modeles c'est 1a meme
idee, Pamelioration materielle et Pamelioration morale du sort de
Touvrier, le developpement des facultes intellectuelles eonsidere comme
le couronnelnent des facultes materielles. Qu'on fasse intervenir, ici
la religion, 1a 1a philosophie spiritualiste, peu importe; ce qui doit
etre retenu, c'est la sollicitxlde envers Penfance se manifestant des le
laerceau, ce sont toutes ees utiles creations : caisses dlepargne, de
prevoyance, d'avances et de preis; assuranees contre les accidents et
sur la vie; cercles dbuvriers, recreations et jeux, theätre, musique
instrumentale, eonferenees, lectures, etc. Et ces associations qui
visent a etre des sortes de societes en diminutif, sanctifiees par le
travail, 011t reconnu 1a necessite des jeux pour le developpement
physique et moral de 1a jeunesse, ont proclame le besoin des exer-
cices corlaorels, tant il est vrai que Poeuvre capitale du siecle con-
sistera peut-etre ä degager Päme humaine du travail manuel et me-
cauique qui Petouffe et Tenserre.
Dans les villes comme dans les campagnes, voiei donc les classes
(lesheritees parvenues a un etat de bien-etre relatif qu'elles ne
FiS. 68. Suite de 1a gravure präcödente.
ä; Usine i;
50H d-hnbiJItSJEISIUS de pfodnmo" (les hnngrms sitnäs A droite sont pour le snble). Sur le dcvm
ans 1a poxnte, ä Pcxbrömiw, In snlle de gymnnstique.
h. gauche, sont diffärentes mni-