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IIP lois In honhonmw dÄXrgoul. du! sourirodosl1ucl-
ÜOOS rlirigüos conlro son nez!
La haim- apparuit plus souvent quo l'esprit dans
les lügendcs : voici M. Udiol, qu'un texte violon!
baptisail Odiezawä 1,51 s'avance ollantonnaxll, la bou-
che on choeur, M. Elionno, le Jocomlo bourgeois.
avec un roslo de sourire pour les belles, et M. Ben--
jzunin Delcssert portant des titres (le ronlo sous le
bras, ct M. Scähasliaxrli irroprocllable dans sa I.oi-
"lotte, et M. Vionnet rageant dans sa cravate. Puis,
se prosenlcnt los marchands de drap let les mar-
chands de suif appelüs aux affaires, les (Iunin-
(iridaine, les (l-anncron.
Qne de croquis et dYsludes pzirlielles, qui de-
vaient aboutir au cheflfioäuvre du Ventre läqislulif!
La belle planche qui represente le banc des mi-
nistres et les depules conservateurs, j'liesite f: la
deerire. La satire sous de lels crayons devient de
l'histoire, et la plume esl, faible in cote du crayon.
Dans un banc en arc de cercle se tiennent les mi-
nistres, W. Guizot et M. 'l7hiers, M. du Broglic,
M. (llkrgout, U. de Rigny, etc. Au llliliüll de l'en-
veintc, accoudü fümiliÜI'Rll16l'll sur lc pupitre des
nlinistbrcs, le maire de Lyon, M. Prunelle, les vhv-
1 a S011 nom, disait Philipon par un procddüfa111ilicr aux jm
nalistos du temps, est Odier; cfvsl, par errcur que lfimprimvur
lhogrnphc u K-vrir Uzlivur. n fllflricnlurf,