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HISTOIRE
Iillionniz, Poilonas, Soult, lüucharil. liluis Fonoons
qu'on brülait sous leur nez dut souvent leur paraitre
Llesagreable !
Pendant trois ans, ces saints Sobastien de la po-
litique furent atteints de coups de tlocties enlpoi-
sonnoes, et n'en moururent pas. Ifopposition les
attaquait sams cesse et sans repit a cause do leur
tidelite au roi, u cause de l'ours lois, a cause (le
leurs voles, il cause de leurs jugements, a cause do
leur zolc, a oauso de leur "lngfililitltltb pour la do-
inocratie que certains avaient abzindonnoe
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Lu caricature est un
ne lzfxcllc plus sa proie.
urube aux mille pinces qui
"Une fois ces honuues politi-
f La jeunesse ne prenait pas aussi [ihilosopliirluement que le mi
les changements (Iailurcs d'anciens conventionnels icls que Barbe-
Marbois, le f.hBl'lI1id01'i5C' devenu pair de France, ou que M. Bnrllic,
l'ex-carbonaro appcle au ministerc, dont Lonis-Pliilippe disait avec
un sourire plein de scepticisme ii ceux qui lui rcprochaienl son
passe : x Barthc est un converti. n