A Pepeque ou Daumier rencontra Philipon Pinitia-
teur, (leja l'artiste cherchait sa voie, publiant chez
les marchands d'estampes quelques feuillets timides
qui ne font pas pressentir le satirique de 1855. (le
sont des dessins politiques minces et sans portee,
des imitations de caricatures en vogue, une main de
seconde main.
J'ai sous les yeux (les croquis militaires inspiros
de Charlet, que le jeune homme publiait dans des
journuuxl, ou toujours il se rencontrait avec Balzno,
qui, lui fiussi, (ecrivaii, ayani la pierre il fusil cl
4 1,11 Sillmuetle. Avec quelques titres de romances et. quelqnrs
pierres commanclües par Hicourt, alors üdilcuxf d'estampes, on sixivra
les premiers paä dans Vnrl de l'ex-commis libraire.