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"ISTOIR
BÜIFCPIEIÄ.
a Oüy dea, madame, nous en nuons de bonne,
d'aussi bonne quÜl y en ayt en la boucherie, sans
despriser les autres. Approchez, voyez ce que vous
demandez; voilä vne bonne piücc de macho (sic) du
derriore, bien espaisso; cola vous duit-il ?
IJA
FEMME
ROI
TCHEII .
a Nladame, voilin vn bon colct de nloulon : tenez,
voilil qui a deux doigts de gressc : ie vous promets
que le mouton en coustc sept francz, ct si encom-
m1 n'en sgauroil recouurir, io serons nnnlrninis de
fermer nos boutiques.
ZOISE.
BOURG!
a Combien voulez-vous vendre ces trois pi bces-lfa?
BOUCHER.
a Madame, vous n'en sgauricz moins (lonner
oscu, voilil de lacllc et lmnrie viande.
quWn
LA
HÜFRGEOISI
VFTIIH-
a Jesu, mon amy, vous nloffquez-vous?
ment prisez mon vos piäccs.
LE
BOUCHER.
a Madame, ie ne sommes pas f: cette heure il les
priser, il y a longtemps que ie sgauons bien com-
bien cela vaull, ce n'est pas d'n11iourd'lnuy que nous
en vendons.
LA
RGEÜISI
a Trvdanul, mon
umy, ie vrny
VOUS VOUS ITNH)