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BERNE.
et mouvements, est absent (le compositions lines
et. froides a la fois (l'un artiste, dont M. Vitet. disait
avec justesse, en 13291 : a Il (Il. Monnier) envisage
on gt-neral ses personnages sous un point de vue
anguleux, et sou coup de crayon est presque toujours
brusque et hache. n
Comment les Scünes populaires ereuserent un
trou en plein romantisme, c'est ce qui m'a toujours
emerxfeilltl. Le Roman chez, la portiers paraissant
en moine temps que le (Impcuul, PIntärieur (l'une
diligence a la ineme heure que la Danse macabre,
le Dinar Bourgeois faisant concurrence aux Contes
du Iyrnntlzrope "Petrus llorel, sont (les ÜItOFHHIItTS
qui feront travailler l'imagination de la CPlÜQIIÜ
future. Car MU)I8iFIll' .P1'1t1IIi0nnne est contemporain
tlllntoiiy, et si l'expert, en (werituresjugeales orgies
rlu roman, les poisons du thefitre, les cltarognes de
la poesie, les pourpoints des peintres, avec une pro-
fonde dissimulation il tint, cachees ses observations
Slll"
CCS
a däteslables n
doctrines.
Une Hamme bizarre skitait emparäe de tous les
(rsprils : müinc Simüon Cliaumier el. GuslaveDroui-
neau passaient. pour des poütcs, et Ilcnry Monnier
pouvaitxfivrc au milieu de tels romantiques sans
quv sa {(210 füi misv fi prix!
Frnymrnls PI Bhflzfzzqes.
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