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Cette maniere est d'autant plus significative yen
regard des elegants et robustes croquis de Gavarni
et de Daumier qui travaillaient dans les memes
feuilles satiriques. D'un trace mince et sec, si la
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naivete no s'en melait, le crayon do Travics va
droit au contour ct ncglige tout artifice pour re-
Ioffer. Son dessin grclo est (PBCCOPÜ avec les hüros
qutil represente; si le trait devient insuffisant pour
certaines scenes (Vorgie auxqucllcs le pauvre Tra-
vif-s du! f-tre rarement initie, il est d'accord avec