D
AHU
NIODERNE.
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lhmä-c, clil nm (aiü In snulhomnne propre 51 illnslrer
lu sinislrn ballade L10'l'l1mnns Hum], la Chanson dv
lu (Jhemise.
a lltlllllfltl de moeurs faciles et gaies, dit NI. Ihirty,
detail. sur les lieux memes que 'l'raxfii':s allait.
eturlier ses types de chiffonniers et de buveurs
oint-rites. A Monlparnasse, le bal de 1a (iirafe, ren-
dez-vous des croque-morts en goguette, serappelle
encore ses eearts, et: le cabaret des Dezix-Eläplifzizts
lui a fourni plus (l'une fois des types curieux et
finement, saisis de marchands dihabits, et de la
race aujourddiui eteinte des coehers de cabriolet. n
.le n'ai pas connu ce 'l'ravies faeetieux, le mC-mo
qui, dit-on, ayant vide plus (Pane bouteille avev
les croque-morts, se iit rapporter dans une voiture
des pompes funebres. a Sa muse, a dit un petite
qui jugeait bien son muvre, est une nymphe de
faubourg palette et müla1icoliq11e.n Et il peignait
l'homme ainsi : a Il est le prince du guignon. n
Sans doute les compositions relatives a Mayeux
appartiennent au domaine du grotesque, mais ilfejfi
Pinclination pour le bossu desherite des dons de la
nature est la preuve d'une ironie concentre-e.
Dans l'oeuvre de lfravies se voient une plainte, une
souffrance, une revolle, quiil represente un pauvre
grelottant de froid,_ une femme abandonnant son
enfant au coin d'un carrefour, un malade isole dans