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lrouhlcs do la Rüpubliquo. C'en est fait. Le bouffon
est mort. Chamm le croit. Poiunt. Il rovionlv oncore
i: un n1o111enl.grnvce :
Jlluyeua; Fiiuläpenzluizt, homme poliliqzicf, cm, zippe-
lmz! les hommes du jour par leur nom. Suivi zlomc
revue rritiqiie sur zliverses positions (le sa vie et quel-
ques pages sur lfävdncmeirz du 2 däcembre. Paris,
A partir de ce cri supreme, Mayeux garda un
silence prudent, et depuis treize ans il a abandonne
tout 51 fait la scäne ois ses dernieres appariiions, il
Faut le dire, ne remuerent pas les masses.
l] en est des bouffons comme des hommes poli-
liques de faible lrempe qui rostenl. trop longtemps
dans la retraite. lfinaelion les rouille.
Des gänerations nouvelles se groupent tous les
dix ans, des rangs desquelles sortent de jeunes
hohnneä sans respecl; pourlle passe, et on peutnllir-
mer, sans CPülINlPP (le se tromper, que le vieux
Nlnyfeux esl, condamne f: rosier flans ln coulisse,
quoi qu'il z1rrixfe'.
1 a Un heaujonr, on ne sniL pas pourquoi, lllaycux mourut tout in
coup. Sa bosse l'avait otouflä. Ou plutot, si, je sais pourquoi il es!
mari, et je vais vous le confier. Ce pauvre bossu ätait patriote; il
iitait. libertin, mais il ifolait pas filou; il avait des däfauts, mais il
n'avait pas commis de crimes; il souriait il la beautä, mais il nr-
croclietuil. pas les secrätairos; bref, M. lllayoux. malgrä ses pro?
jurons, m'ait encore des illusions...
w lia äoriritä, on se porfifvtimmmil, 110 pouvait pas Non lcnirü ce