XVII!
PNEFACE.
pas eu de leur vivant la
fortune qu'ils märitaient.
de gloixrc
part
et
de
Pour bien faire
rüle de la ca-
comprendre le
ricature a notre äpoque, j'ai d'abord dücrit
des images dans une Revue sans images, m'a-
tant donna la tache de rendre visibles avec la
plume les acccntuations d'un puissant crayon.
Le public a paru süntercsser il ces etudes,
sans doute en raison des secousses politiques
des vingt dernieres annees qui n'ont pas per-
mis il la caricatunc de conserver son tronc.
Dejii les choses et les hommes que je pei-
gnais appartiennent il des (f-poques leintaiiles.
1850 etutlie dllpres les monuments de l'art
satirique est de FÜPCIIÜISIHO.
Le
sujet
citait
bfülillll.
Je
111C
suis
efforcd
flamme, IÜIÜGIIÜÜIII
esprits Lldsintürcssüs.
(l'on adoucir la
batioxl que des
d'appro-
Iäapportcur dans le procbs que la carica-
ture intcutu aux partisans du gouvernement
(fonslilulionnvl, il (Fluit (lüliczal d'imposer mon