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FlltllllOH, (les reeits des" OOTIIPIHPOFHlIIS et tle mes
propres souvenirs.
ll en est. (le tllrqfeux comme tltt Karagueuz orien-
tal, issu (le Priapti qui semhle la mt-tre Cigogne ale
tous ces bizarres personnages. Pulcinella, Poli-cahi-
nelle, Puitch, sont peut-titre les tils de tleux pores :
llaccus ct Priapc; de cette generation (liflorme,
tacetieuse, cynique ethardie une parait descendre
lllayeux, rlont jusqu'ici Travies avait me regarde
comine le pore.
ll le fut en effet matcriclleinent; mais l'enfant
ne reeut pas moins des grotesques, ses aieux, cette
part de ressemblance singuliere qui clans l'ordre
artistique comme dans l'ordre physiologique s'al-
tcre, disparait, revient tout a coup, et reste encore
un problelne mysterieux pour les esprits philoso-
phiques qui etudienl les phenonlencs tleflieretliltif
'l'out. (l'abord, dans le masque, flans la levre su-
perieure devcloppee a la Talleyrantl, comme aussi
tlans les longues mains animales du bossu, je re-
trouve llintlucncc d'un autre Truvies, dessinateur
au Jardin (les Plantes et frere (lu caricaturiste.
C. J. Travies, dans sa jeunesse, fut frappe rlu de-
Yeloppement des lignes animales et. du profitqifcn
peut tirer le peintre en les adaptant il la silhouette
humaine. En effet, il ne clota pas St-llllellltjtlllllüytällX
tlu masque SlIHlOSQIIO, mais encore il'une luhririte