IIIAPITRE XlV
le que pensait Lucien de Priape. Parcnte du masque de Prnxpe
avec la figure de llenri IV. Priape inal connu un moral.
Voile leve avec prudence. Les poüles pastoraux de Pantiquile.
Isolement de Priape. Quiil a etejuge de diverses manieres.
Le a bon n Priapc. Tlieoerite. Satyrus et Archias. Les
offrandes des peclienrs il Priapc. Un vieux Iseeheur sans foi ni
loi. Le jardinier Lamon. Beaucoup de bruit pour rien.
L'arme de Priape. Le dieu n'est pas sans rapport avec Falstaff.
Les poetes ne l'ont pas epargne. Analogies de Priape et de
liarulienz. Le symbole priapique. Que la pudeur n'est pas
une qualite moderne. Le poäte Erycius et le Priape impu-
dique de Lampsaque- Priape entrevu du cote populaire.
Priape craint d'etre vole et brüle. Les commentateurs n'a-
vaient point pris garde il cette figure antique. Un ouvrage de
(lfllzmcarvillo. M. Louis Barre et la faeon dont il envisage
Prinpe. Culte tlieopliallirlue. Le Phallus des buveurs.
tinide. Comment il l'eut envisager ce symbole. Mercure, le
dieu le plus impudique de POlyxIJpe. Phallus a tete de chien.
-Thesesäcesujet.... .
CHAPITRE
XV
EÜT
PESSE
Il DE
LA
FION
REPRESENTA".
Guor mm:
D'UN
PÜKILIK
Curieuse lampe antique. ELrang-c assemblage de noble et de tri-
vial.- Lampe de Pouzzoles.- Opinion de M. Lenormant.
Le polier de la lampe de Pouzzoles. -Cc que dit des symboles
M. Renan. Des relations, dans Yantiquitä, des potiers et des
peintres. Un potier est presque un artiste. Le chef-dünuvre.
Les artistes de Vanliquild vus sous l'aspect familier. Mont-