DE
LA
PREMIER?)
E1
IITION.
XV
a Voici, disait. Wieland, une assertion qui
paraitra une lieresie a certaines gens, cal",
depuis que Winckelmanii donne le ton chez
nous, et qu'il a tant eerit sur le Beau ideal,
et sur l'Art chez les Grecs, et sur les Lois eter-
nelles du Beau qu'on remarquait dans toutes
leurs ceuvres, beaucoup de gens ont concu
une Fausse idee de Part de la peinture chez les
Grecs, et ne sauraient s'imaginer que, depuis
le temps (le Cimabue et de van Eyck, il n'a pas
existe dans l'eeole moderne un seul maitre
de quelque reputation qui n'ait eu son pareil
dans l'ancienne Greee. Cependant, comme je
l'annonce, elle eut meme ses grotesques. n
[lil Vlfielzind, s'appuient sur les textes de
Pline, montrait que Fanliqnite avait eu des
peintres (le moeurs, des paysagistes, des pein-
lres (le nature morte et des peintres de {gro-
tesques. Dans la Polfitfiqtaie dlAristote, le mot
Zaipoug ne pouvait, suivant WieIaIId,
dnil: que par le mol, curriratewrv.
Tra-