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Anmerkung:
Voi. Per 1a qual cosa, e perchä Toi all" eccellenzn uelln pittura ac-
coppiate una somma modestia, in mi astengo di parlare di Voi
Ma se elogio di Mengs, ä anche elogio Yostro m10 dei qlläili non
piü assolutamexlte comxnendarsi senza ehe resti comlnendato Yaltro.
21) Nlissirini, Canova. S. 105.
Achter Abschnitt.
1) Schlitz an Goethe 5. Juli 1788: „Dass es viele Leute er-
schütterte und zum Teil auch eine Lilst war, den hohen Priester in
seinem ung'eheuren Gepränge in dem Tempel zürnen zu sehen."
2) Vgl. XVelc-ker, Zoegak Leben. 181.9. Bd. II S. 20-1111
3) Ebenda S. 219, 224.
4) Ygl. die Darstellung in (loethds "Philipp Hacken".
Als interessante Ergänzung dazu drucke ich hier den ausführ-
lichen Bericht Hnckert7s an den englischen Gesandten Sir Hamiltnn
ab. Der in meinem Besitz befindliche Brief ist besonders dadurt-h
bemerkenswert. dass Hackert sich in ihm als guten Royalisten dar-
zustellen sucht, weil er offenbar die Fürsprache (les Gesantlten bei
dem König Ferdinand erhoffte; mit der Darstellung in der von (ioethe
aufgenommenen Selbstbiographie stimmt das nicht, ganz überein.
Monsieur le Chevalier C'est une grande consolntion dans le-
malheurs diavoire encore des anciens amis qui prenent part. Depuis que
nous ne nous somes plus vüe j'ai eu bien des malhetirs pur les evene-
ments qui sont arrives. Je ne vous ferai point- le ttlblßtlll nitreu du
tems dätnarchie de Naples, seuhnent pendant ce tems, nons nvnlls
risque (Vet-re saccag-äs et tue, parceque nous demenrions dnns un
Palais apatenant ä. 1a Cour. mon frere et moi nons avons vn awu.
les larmes an yeux Paffreux spectacle, par 1a fenetre. quand 011
a porte bien des moebles et des Etfets du Palais du ltoy. par in
rue de Chiaja et nons avons entendus nons memes linltention des
Lazaroili de vouloir saecager 10 Palais Francavilla, nons etions
dans un etat de tristese et de douleur pour voire ehaque moment. que
les Lazaroni montassent, et- que nons serions obliges de uous saurer
1a vie, par le jardin en nbandonant le tout; je erois les trois coup
de Canons qu'on tira. de St. Helme a dissipe les Lazaroni, ou pur
quelque nutre hasard que cela ne fut par execute. Ce qne les La-
zaroui niont pas fait, ont fait. les frangois qui nons ont hien vulö.
Trois jonrs apres leurs entre, nons trouvznnes un billet affichö n
notre porte, quatier du General Divisionaire lley avec son Etat
Major, trois de ses commissaires avec quatre ofiieiers monterent et
deinairrlerent a etre loge, tout nos representations ötaient inutiles, ii
falloit malgre leurs donner im leger et ä. lllanger pour qnelques
jours. on nons mis des gardes ä 1a porte pour ne point faire
sortir de nos Effets. Ils voulurent (labord saisir tout ce que
nous avions, tableaux möbles etc (lisant. qtle cäätait Royale. apres
bien de oomhat et PTOIIVHIIT quv (Fötait uotre propriete. ils de-