SUR
SYMHOLISNIE
ARCHITIZCTITIKAI.
il enseignait que lä oü le Symbole npparaim sous sa forme
propre et indäpendanto , i] porlc cn gönöral I0 caracli-re (h-
la sublinlitö et Jouffroy, lorsqlfil svntait que la sourcu
rle Pämotion esthötiqno 0st dans Fönergiv symbolique des
choses
Non seulelnent il n'y a pas iIIdÖCOIICO in peindre cn (lügni-
sements grossiers les röalitös cölestes , mais plus ils sonl in-
iimes, selon l'amour du livre de la Hiörarchie , moins il faut
les interdire. C'est qu'ils (loivent rellöter un monde dont un
abinle inlini les söparc; alors leur abjoction mömc scrt ä
(rlcver notre coaur 011 montrant qu'on nklssaie pas (Pattcindrc
ce qui est inaccessible
Kclnarquons-le bien, le Symbole et le dogme catholiquc
ont vntfeux une convenance intime. (Jelui-ci lfest pas in dö-
couvcrt; ses rayons nous arrivent comme voilös, et il 0st
justu que Fexprcssion dont il se revät, süanvcloppo aussi
(Fombrvs (linplnannvs. linfin , la morale chröticnne tend i: dü-
dam modo, quo tanqualn pondere sursiun vel inlrorsüm reformnur
ad requielu, isla omnia pertinexmt quw uobis ügurutt- insilulnulu1':
plus enim movent et accendum amorem qnam si nuda sinir ullis sa-
crnnlenlorunl sinlililudinibus ponerentur. Gujus rei causa, dillicile es!
dicere. Sed tamen itä se habe! nt aliquid per allegoricam significalioncnl
inlimulum plus nxovont , plus dclcctet, plus honoretur quixm si verbis
pmpriis dicerelur apertissinxö. Credo 'quod ipse zunimae motus quumdifl
rcbus allhüc lcrrenis implicnlur , pigriüs inllalnmatur. Si verö ferulm
ad simililudines corporales et indü rcfcralur ad spiritualiu qnm illis simi-
liludinibuv. ügurantur ipso quasi lransilu vegetalurel tanquam in faculai
ignis ngilatus avcvnditur. n
Ad inquisit. Junuarii. Lib. 11.. Ep. 5A.
(1) Conrs (Pläslhülique. D0 In forme symhnlique dc Yarl. Inlro-
(luclion.
lrs (Vlüslluälique , 23". legen.
In hiürnr. cuäl. Ch. I1 et 2.
3) profosso los mömvs idövs.
llnbuu Mzu
( 110 inst
it. clcriv.