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SUR
SYMBOLISME
ABCHITEUTU RAL
et voyanl: le plan trace , fut rempli de joie; car il savnit que
cela anssi s'6tait fait pur revälation divine v
Le temoignage des anteurs (2) el les monulnents encore
debout deposent de Fantiqnite et de Funiversalite qui rendenl
cette disposition symbolique des eglises en quelque Sorte obli-
gatoire. Elle est (levenne , depnis Fere basilicale, nne röglo
qui sans deute a souflert des exceptions (3) , mais 21 laquellv
on ne (levrait se souslraire que peur des canses impöriensevs.
La croix est le signe enlinelnment chretien. Du nloment
qu'elle ordonne le plan d'une eglise, elle y luisye le scem:
de la religion, imperissable comme Pedillce möme. Voyez
ve carre-long des eglises nlodernes wi-disant grecques ;
il n'est presque pas necessaire d'y toucher, ponr le changer ,
au besoin, en salle de thöätre, en lout zmlre monulnenl
profane ; nul vestige de christianislne ne fera soupgomler nne
violalion sacrilöge.
Mais s'il arriwie, en des teanps (Yanarchie et dimpiele ,
qu'une eglise znarquöc du Symbole de Ia cmix , soit sonillöe
pur un usage indigne, les pierres, les pierres möme pro-
testent contre Fattentat. Le nom du (ihrist semble evril; sur
la murnillc en
pour Feffaccr
faut ,
caracli-rcs indöläbiles; il
41) Erut aulem in alia charlä inträ litteras (Iescrilmla forma Ccclesiw
in Iiguram crucis , quomodö nunc quoque Deu xolenmle cernilur. E1
continebant litlenn ul cnnvvniemcr dicke ügura: sanctaconderetnr vccle-
sia. Laelalus est aulem S. P0rph_yrillS cüm lPgisset, et vidissel formnm
zlescriplam. Sciebat enin] hoc quoque fnctuln fuisse ex divinä reve-
lulione. n Apud Boll. ad diem 26 febru.
(2) Evagre. liv. 1 , ch. M. S. Grä-g. de Naz. carm. 9. Grög. du
Tours. Hist. Franc. lib. 2.
(3) Gemma auimae. lib. 4, c. M7. Eusi-be. vit. Const. lib. 3. cn.
38 et ca. 50. Les Orientaux, pour se conformer ä la loi , HjOUIEPEDI
[xarfois des absideslalärales au corps du mommnexlt. Georg. Cedrenus
wit. Just.