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bätir une räsidence somptueuse, et manda les ouvriers les
plus capables parmi ses serfs et parmi ceux de ses voisins
auxquels, dans ce cas, il devait payer une redevance par
t6te.
se souvenant de ce qu7il avait vu chez le gros Fau et des
combinais0ns ingenieuses appliquees par les constructeurs
jaunes dans leurs demeures de bambous, FIpergos pensa
qulon pourrait tirer parti de ces combinais0ns dans la chars
pente de la nouvelle bätisse, car celles qu7il voyait 1ui sems
blaient grossieres, lourdes, et ne pas pr6senter les avantages
qu7on peut tirer de l7emploi des bois.
Epergos se rappela1t ces balc0ns en saillie sur le dehors,
et se disait que Si on obtenait ces rcHsultats avec des bams
bous, a plus forte raison le pourraitson avec des essences
resineuses plus rcsEsistantes. II se dir aussi qu7apres tout, Si
l7on p0uvait, dans les constructions futures, moins prodis
guer les b0is, d7autant qu7il fallait aller les couper assez
loin, on perdrait moins de temps, et que l7l1abitant pours
mit entrer plus tot dans sa maison.
Le plan de llhabitation n0uvelle ne differait pas de celui
que nous avons donne f1gure I8; mais il y avait avantage a
mettre les parties hautes de la demeure en encorbellement
sur les parties basses, pour mieux abriter cellessci, et trous
ver ces galeries en saillie, qui presentent tant de commodis
ces solt ä l7intc5rieur, solt ä l7exterieur, comme on l7a vu dans
lll1abitation du gros Pan. sur les conseils d7FJpergos, le
constructeur disposa donc la face, ou le pignon de la salle
principale, ainsi que llindique la 1igure 22. 0n chercl1a dans
la forät deux troncs d7arbres presentant cl1acun une fourcl1e
et une forte brauche en avant Ces troncs d7arbres formaient
les points d7appui de la fa9ade exter1eure de la grande salle;
de telle Sorte que les pieces de ,bois horizontales qui ätaient
encastrcsEes dans les fourcl1es se trouvaient soulagäes ä leur
extrömite par la troisieme brauche anterieure. Ainsi pous