HlsTOIRE
DE
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pr0priä ä la nature des mateEriauX
en abondance.
qui:
110tkc
PaYS p0ssEde
cc Eh bienl v0us l7abandonnez ce systeme, qui etait un
perfectionnement, une decouverte utile, pour retourner ä la
vok1te antique romaine, dont la construction nlest raisons
nable qu7autant qu7on emploie les procedes adoptäs par les
Romains, ce que vous ne faites pas, et qui sont loin de laisss
ser a l7architecte une libertcsS complete. Pourquoi celaP A
quoi b0nP D Doxi etait venu rejoindre Epergos et Philjbek1:
pendant ce discours. re 0ui, ditsil, les peuples se lassent ä la
fin de ces prcEtendus perfectionnements : en s7avanc;ant, ils
ne tr0uvent que tenebres de plus en plus epaisses et reviens
nent sur leurs pas pour retrouver la lumiere. Il est bien
temps, car nous t0mbons dans l7obscuritel J;
FJpergos ne voulait pas engager une discussi0n avec s0n
compagnon en ce moment; aussi sladressant de nouveau ä
Philibert : cc Quoi que jlaie dir, ami, je trouve votre h6tel
charmant et ne puis que f6liciter le seigneur qui a le bons
l1eur de le posseder. Un huguenotl D dir Doxi entre ses
dents. FJpergos ne Ht pas semblant d7av0ir entendu, et, apres
quelques propos Hatteurs pour l7architecte, les deux compas
gnons le quitterent.
Quand Epergos et Doxi furent seuls, s7en allant le long
de 17z1ksena1 : a En verite, dir le premier, tu es un singulier
h0mme. Je t7ai vu affilie aux mysteres des Egyptiens, et ne
v0yant rien au delä des rites pieux de ce peuple, repoussant
com1ne un crime toute autre maniere de rendre hommage
ä l70rdre divin de l7univers. Puls les Assyriens, ä leur tour,
ont ete pour toi les vcZritableS interprätes des ch0ses divines.
Puls, apres avoir admis je ne sais quelles autres idöes, tu
t7es pris d7un amour fanatique pour le paganisme, tel que
le comprenaient les Romains, pensant que rien n7etait et
ne serait superieur ä cette alliance du prStre et du magiss
trat. Tu considerais les chretiens comme de miserables ins