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H1sT0lRE
DE
1JHABITAT10N.
le corps du tue; celuislä du moins, n0us le c0nnaitrons. s;
A ce moment, une s0urde rumeur se repandit au dehors.
sc Qu7estsce encore P s7ecria le duc. Clest Amauri, dir un
ecuyer, qui revient seul. Amauri, mon neveu, ou estsilP
Le v0ici. D
A1nE1uri entrait en clfet dans la salle, p:ile, tr0uble. re Parle,
Amauri, ou est Cl1arles, mon filsP dir le due d7une v0ix
etranglcEe. M0rt, tue, penclant que nous cl1assi0ns; ses
ecuyers le rapportent ici c0uche sur son ecu. Mortl Cl1ars
les tue, et par quiP Par ce dam0iseau, dir Amauri en
m0ntrant Hugues. Ah fel0nl D hurla le due en se jetant
sur Hugues la main levcEe. Mais un chevalier de sa c0ur sc
mit devant lui et lui retenant le bras : cc Sire due, ditsil, ce
jeune chevalier est de n0ble naissance, tu lui as delivre un
saufsc0nduit pour venir te tr0uver. Qu7il soit juge; s7il est
coupable, qu7il solt condamne; rien de plus, s7il plait ä ca
seigneurie.
Aux premiers mots de cette scäne, la ducl1esse slätait preis
cipitäe h0rs de la salle. Le corps de son Als, sanglant., c0us
ehe sur son Heu et couvert de feuillees, portcE par quatre
äcuyers, etait dcEp0se an bas du perr0n. La duchesse se
precipita sur ce cadavre et voyant cette large plaie b6ante,
elle y porta ses mains comme pour la fermer.
sc 0hl mon Charlesl mon Cl1arlesl J: ditselle.... le c0eur
faillair ä ceux qui etaient la.
ADans la salle, Hugues, remis de la premiere emotion
causcHe par la parole dlAmauri, se plac;ant devant le due,
lui dir: cc sire due, ne me menaceZ p0int; si j7ai tue celui
qui a blesSe mon frere et qui voulait me tuer, je ne savais
pas qulil für votre fils. Si je l7avais su, seraissje venu a vorm
cour, me placer sous v0tre sauvegarde et vous demander
justice2 A qu0i bon les menacesP me v0ici prcJt ä me sous
mettre ä la justice de v0tre cour. Il parle bien, dirent
les chevaliers; mais qu7Amauri dise comment la cl1ose s7est