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HlsT0lRE
DE
JJH.uZ1TAT:
meine des clangers, parce que les c0ucl1es poscEes tr0p m0lles
se gerqaient et risquaient de causer la cl1ute de l7ouvrage.
Puls encore, quand on arrivait pres du Sommer de la voc1te,
les parties d7argile, tressminces le long des c0urbes, sös
cl1.aient beaucoup plus rapidement que celles posees sur les
keins des voL1tes. Il fallait entretenir l7humiditcE dans ces
parties minces. Tour cela demandait des s0ins inHnis et la
räussite n7cEtait jamais certaine. Däjä cependant on m0ulair
des briques comme nous les m0ulons auj0urdlhui.
ei Ce fut alors qu7un h0mme puissant par le savoir, et qui:
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sur les roseaux courbes comme on construit les murs, c7ests
äsdire en p0santles briques comme v0us le voyez ici Cf1g. 50J,
et par c0nseEquent de passer du plan du mur vertical an
plan c0urbe de la v0k1re, sans laisser un angle entre les deux
plans; en un m0t, de tracer les v0ütes au moyen d7un demis
cercle comp1et. Ainsi la construction du mur continuait,
pour ainsi dire, en se c0urbant de plus en plus.
c: Il parast que Kabu eut beaucoup de peine ä faire ad0pter
sson idee; les anciens le däclaraient insense, pretendant qu7un
la verticale.... Mais Kabu fit en petit une voüte d7apres son
systeme.... Vous souriez, dir l7architecte ä Eperg0s:, peuts