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DE
L7HAB1f.ixTtoN.
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sur ce clayonnage ils Hrent placer l0ngitudinalement des
roseaux plus lcsEgers, puis une premiäre couc11e dlargile
molle qui suivait la f0rme du cintre fut battue. 0n la laiss
sait säcl1er une j0urn6e. Ldrsqu7elle 6tait durcie, une ses
conde c0uche d7argile eJtaii superposäe, toujours en 6p0us
sank la torme du clayonnage; et ainsi proccZdant par couches
l1orizontales auxquelles, une fois pos6es, on d0nnait le temps
de s6cher, le clayonnage cintrcH se trouvait entiörement couvert
d7argi1c. Comme chacune de ces couches avait öteE p0säe horis
Zontalement, leur ensemble donnait clonc la Section CHg. 49J:,
et les constructeurs enlevaient tous les roseaux verticaux, l10s
rizontaux et diagonaux, en ne laissant que ceux qui avaient
SEkvi de formes. Il restait alors une serie de baguettes aps
IsUk efHcacite. Mais bient6t ces r0seaux en se dessechanr
n7eurent plus d7adherence avec llargile, et on reconnut que
leur f0ncti0n etait inutile; aussi les enlevastson.
Er Ces vok1tes, par suite de la necessit6 de laisser secher
fort l0ngues ä construire. Il fallait en 0utre avoir de dem:
battre la coucl1e nouvelle. Parfoi5 cette terre erexit trop des
tremp5e, parfois trop peu. Il en resultait des lenteurs et