nosn ]
conservees. Nous traqons (fig. 6) une de ces roses. lei, eonformement i:
1a donnee admise ä la ün du X119 siecle, les eolonnettes-rayons sont
posees les bases vers 1a cireonferenee; mais dejä une arcature externe
Lgä
6
W
1 f{.l
fi
l;
[i]
z I
f x
llä
reunit tout 1e systcmc, comme E1 Notre-Dame de Paris. L'appareil, d'une
grande simplicite, presente toutes les garanties de duree, mais cette rose
est loin d'avoir la legerete de celle de 1a cathedrale de Paris. D'ailleurs
le systeme de vitrage est 1e merne.
La rose de la facade de Notre-Dame de Paris fut taillee vers 1220,
comme nous le disions plus haut. Quarante ans plus tard environ
(en 1257), on elevait les deux pignons sud et nord du transsept de cette
eglise, pour allonger ce transsept de quelques metres 1. Or, ces deux
pignons sont perces de roses enormes qui n'ont pas moins de 12'290
de diametre, et qui s'ouvrent sur des galeries ajourees. Ces roses sont
construites d'apres le systeme indique dans notre figure 2, en C; c'est-ä-
dire que les ecoincons inferieurs compris dans le carre inscrivant le
cercle sont ajoures comme le cercle lui-meme, tandis que les ecoincons
superieurs sont aveugles, etant masques par la voüte. Voici (fig. 7) le
trace exterieur de l'une de ces deux roses, celle du sud. Les ecoincons
Voyez ÜATHEDRALE.