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de la puissance superieure, qui deviennent ainsi comme des attributs
d'un ordre divin unique etabli plus tard. Ceci explique les diffieultes
qu'avait ä vaincre le christianisme pour imposer le dogme de Yunite de
Dieu au sein de races pantheistes par la nature meme de leur esprit. Les
difficultes furent telles, qu'on les eluda, qu'on les tourna souvent pour
faire admettre la nouvelle religion, soit au sein des civilisations grecque
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et romaine, soit parmi les barbares, qui, etant de la ineme famille que
les Grecs, les Italiens et les Gaulois, avaient les memes dispositions au
pantheisme. De 1a une quantite prodigieuse de Symlwles ä FÜÜSiÜÜ du
christianisme et pendant le moyen äge- LOHStÜmPS ÜIIÜÜYC, ä date? de la
reconnaissance ofücielle du culte chretien dans l'empire romain, des
traditions du paganisme meme se melent aux dogmes nouveaux; et
parmi ces traditions, les ceremonies sacrees dont le feu etait 1 objet chez
tous les peuples äryens ne purent jamais etre efliacees. On ne rendit plus
un hommage direct au feu l, mais le feu devint symbolique et entra
dans le culte chretien.
Plndus, le
Il faut dire que chez les Arlyas de
n'6tait considärä que comme un