SERRURERIE 
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un piton tenant au pele, auquel est rivee librement une poignee mobile. 
Deux illets-enabrasses, avec talon a, renforcent la coque le long de ses 
rives, et permettent de la fixer au battement de la croisee au moyen des 
pointes b qui sont rabattues en dehors. Le pele entre simplement dans 
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une platine a gäche fixäe au meneau, car ici la croisäe ne possbde pas 
de dormant. Cette autre targette B est dans le mäme cas : son päle tombv 
dans une platine a gache; sa coque est 1naintcnue, comme la präcd- 
(lente, a la traverse du chässis par deux embrasses il pointes. La poigndc, 
au lieu dYztre mobile, consiste en un animal finement forgä et burin6,