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. n'est JEIS 'usc Lfau "Zzfrc c ui ne ru nelle le travail
gaulmu, que Ionmnc. 1 1
linäairc qui ddcoro certams ustengllfzs de uos zucux. Poulrquol lus souvicnxrs
des arts romains aura1cnt-1ls lzusse 11101115 de tracer, (ans ces provulces
v aule ? c'est ce ne nous ne nous char enons
que dans duutres e a ,
pas d'expliquer, puisque le temtolrc de l Ile-de-France, et notannnent
les environs de Soissons et de Compiegne, etaient couverts (Vediflces
gallo-romains tres-importants et dont on trouve des debris a chaque
pas. Comment, apres onze cents ans, les habitants de ce territoire en
seraient-ils revenus aux formes d'art pratiquees avant la domination
POmaine ? Comment auraient-ils conserve ces formes a Fetat latent, ainsi
qu'une tradition nationale? Ce sont la des problemrws que, dans Fetat
des etudes historiques, nous ne pouvons resoudre. Les poser, c'est dejä
quelque chose, ciest ouvrir des horizons nouveaux.
Sans se lancer dans le champ des hypotheses, on en sait assez aujour-
d'hui deja, pour rcconnaitre: que les traditions d'un peuple laissgnf,
(les traces presque indelebiles atravcrs les conque-tes, les invasions, les
delimitations territoriales, comme pour donner un (lementi perpetuel
51 l'histoire, telle qu'on Fa eorite jusquia ce jour; que ce principe des