SCULPTURE
186
rons; ecole qui se recommandait par l'ampleur de ses ceuvres, la variete
incroyable de ses compositions, la beaute relative de Pexecution. Le peu
d'exemples qu'il nous est possible de donner fait assez voir cependant que
cette ecole clunisienne du X116 siecle, sur les confins de la Bourgogne,
n'avait aucun rapport avec celle de Provence et celle du Languedoc a la
meme epoque, bien que toutes trois se fussent inspirees des arts romano-
grecs de YOrient.
ffäf
M LX
W! l lfxgfs- f
f fWi Xfw, "Q
1] W, MW" W "ääzqfwfz" f
M f- rj
J 'A Iffiggäxff nfäiifiigzaahl; f; W! Ta,
1375 l" W vwfff M If 11' f"
w a 1' Uflfäffwäfcifäiw f
11 i: VÄVIIS- M751
'xl'
11.! EÜÜÄVX? lpifvfzrfwlwliiiklixmi
x N fldff; A J
a x g-ÄWÄÄÄÄWX, j, Jljfjt; l]
l! K Llfllääknilt-lzumzf.W
m;
iWguP1gÄ..__
1. Vlfifhfwiliw" k
Si nous penetrons dans les provinces de Füuest, nous reconnaitrons
encore la presence d'une quatrieme ecole d'ornementation dont le carac-
tere est tout local. La aussi, evidemment, l'influence byzantine due aux
premieres croisades se fait jour sur quelques points, mais cette inlluence
est sans grande importance, au moins jusqu'au milieu du X118 sieole.
Quelques localites de cette partie du territoire franeais possedaient des
monuments gallo-romains en grand nombre, comme Perigueux, entre
autres. La Fornementation se traine dans une imitation grossibre de l'art
antique, et le renouvellement par l'apport byzantin n'est guere sensible.
Mais, en Saintonge, en Poitou, des influences qui ne sont dues ni aux