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(Tl'as_ei' en r], peuvent se disloquer, ne plus epauler qu'in1parfaitement 
le coin de pression. Celui-ci, reposant sur son angle seulement, süicrase, 
et les pressions", zlgisszmtltres-irregulierement sur la pile, brisent ses 
assises. Cet zieeialent, assez frequent, ainsi que nous venons de 1e dire, 
dans les edilices laatis au X110 siecle, oü l'on n'avait pas encore acquis 
une parfaite experienee de lleifet des grillldC-S COIISLFUCUOHS voütees 
reposant sur (les points d'appui greles, doit eveiller l'attention des 
architectes charges de la restauration de ces constructions. Souvent, en 
apercevant des piles ecrzisees, bien que d'une section notable, on croit 
a l'insuffisance, des niateriaux employes, et l'on se contente de remplacer 
les assises eclatees. C'est 1a Pellet; mais la cause reside presque tou- 
jours dans les- sommiers qui n'ont pas de "tas de charge ou de lits hori- 
zontaux an-dessus des chapiteaux, a 1a naissance des arcs. 11 est donc 
urgent de supprimer cette cause.  
   
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Unperatio11 est souvent perilleuse, et demande de lätttention. Beur 
blaeer les assises ecraseee d'une pile, dans ce Cils, sans relancer les som- 
miers en las de charge on x1 lits horizontaux, a la place (les claveaux 
disposes comme il est dit ci-dessus, Gest faire un travail inutile. 
 Les accidents qui äetaient produits dans des edillces du xnc siecle, 
n cause de l'absence ou de l'insuffisance des tas de charge, ne furent 
DfLS llffrdus pour les maitres du X1119 sieele. Ceux-ci en vinrent bientüt, 
"msi (1110 nous 1e (lementrons dans l'article ÜONSTRITUFION, a ne plus 
(pionner de coupes aux claveaux que quand leur extrados echappait a 
l'aplomb de la charge superieure (fig. 3). Ce principe une fois admis, 
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