PEINTURI
ternes, les hlancs disparaissaient ou sirisaient. Avec les vitraux volo-
res il fallait necessairenient, (les tons brillants sur les murs, et encore
ces tons, pourprendrt! leur valeur, devaient etre aeeoiilpzigiies et cer-
nes (le noirs connue les wn-res colores OllX-IIIÜHIIOS. Aussi voyons-nous
que pendant le Xnl" sieele, lliarnionie (le la peinture (lecoratiife (les
interieurs se modifie. Si par (les raisons (leronoinie on conserve, en-
core (le. grandes surfaces claires, ovvnpeäes senleflnent, par (les filets,
les litres, les nervures (lesvoütes, leurs tvfmpans, se ('f)l0l'0lll vivement.
et cette COlUPHllOH est (Vaillant plus brillante, qu'elle skältrignc? (le l'a-il.
Nous avons un exemple remzn-quahlee de cette transition du S_VSll!lllK'
harmonique (le la peinture (lecorative dans llnieieniifi eglisf? (les Jaro-
hins dlägen, batie vers le milieu du Xlll" siI-vle. Celte eglistr, conforme-
ment a l'usage etabli par l'ordre (le Saint-l)onii1.1ique, se compose (le
j! I
V J
i
w)
f L;
W
deux nefs separees par une epine de piliers.Peini.e avec simplicitegm
voit cependantque Farlisle a voulu soutenir letfvt eclatant (les VÜP-
riivres qui autrefois garnissaieiil, les fenelres. Chacune des travees de
cette salle (fig. 9) se compose d'une tapisserie liornee par les piliers
engages et. par le forInereL de la voulc. Une fcnelre, relalivcmenl
etroite, sbuxfre au milieu de la tapisserie. En A esl couche un ion uni
Sombre, zivec filetsmu-dessus est trace un zipparvil brun rouge sur
fond blanc, de B en G. Ifne lilre est peinte en D; le tympan au-dessus
410 colle litre est occupe par un fond blanc avec deux ecussons ar-
moyes: cette peinture est donc d'une extreme simplicile. Les voutes,
sont plus riches; non-seulement les nervures sont colorces "ainsi que