PROFIL 
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trace des arcs des voütes, les lätonrlenlenls sonl encore sensibles; les 
Inethodes ne sont pas franches et sures comme E; Paris. Il suffit, pour 
s'en convaincre, de jeter les yeux sur laügure 117, qui donne en A deux 
arcs-doubleaux des chapelles du cllmur, et en B un arc ogive de ces 
memes chapelles f. 
 
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Ces traces indiquent un sentiment fin de l'effet (et ces arcs en pro- 
duisent beaucoup) ; mais la methode est absente. Les deux arcs ogives 
et doubleaux provenant des veilles hautes du choeur (car, ainsi que 
dans beaucoup de grandes voütes de latin du xnf siecle, les arcs ogives 
et doubleaux donnent la Ineme section), traces en D, accusent une 
etude plus complete de l'architecture (le Plle-de-France, et reprodui- 
sent a peu pres les profils des voütes (le Notre-Dame de Paris. Mais ces 
voütes etaient elevees en effet quelques annees apres (telles (les cha- 
pelles, et les tatonnements ont a peu pres disparu. Il se manifeste dans 
ces derniers profils une tendance qui appartient a Fecole bourgui- 
gnonne gothique : c'est la predominance des courbes sur les lignes 
' Tous ces profils sont tracäs au dixibme de Fexäcution.