[ PORTE ] 348
toujours munies sur leur front. Ils formaient leur attaque suivant une
ligne oblique, en se couvrant par des mantelets, des epaulements e!
des galeries de bois, contre les projectiles des eourtines; laissant les
barbacanes, dont ils occupaient les defenseurs par des attaques rap-
ppoghees, ils les prenaient lateralement, et arrivaient ainsi ä la base
des tours des portes, au point le plus (lifticile ä defendreä (Tetait en
(J
l yf?
"t" e
( A _ .5 13
g: 22:; g
igäffäf
f? "T lww: tif-e". Vieil?
f ä 1 e "il
gultgÄä L4, i
i llllf
lmiiggm lllr "x
l! Il l "KM
il il in l f
glll f l lift gff
ä "Il m il I 222,2:
j) tilltä r; i, A1 ' t__
f ÄaH-llllavlllllfläiüälfääxatfr. i c "mm"
4., 10
provision de ce genre d'attaque, que les constructeurs militaires fai-
saient oes becs saillants, ces eperons renforgant les tours des portes
au point attaquable et obligeant Fassaillant ä skäloigner de la tangente ;
mais des l'instant qu'on pouvait munir les couronn ements des tours
de machines de jet ä longue portee, ce moyen de defense rapprocheo
devenait superflu.
Une coupe faite suivantfaXe (111 passage de la porte de ViÜBIIGLWeT-
lJez-Avignon (fig. 26)completeral'intelligence de ce bel ouvrage d'un
Voyez l'article SIEGE.