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chaines se divisaient. chacune en deux parties, dont l'une äenroulail. sur
un treuil ctFautre etaitterininee par des poids. (Ietaitdonc du niveau des
mächicoulis du liourd M. Quant aux deux herses, on les manoeuvrait
par un treuil unique; les chaines enroulees en sens inverse sur ce
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a ,Üfifzäfzäii.11:11.P.
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treuil permettaient, au moyen d'un mecailisme lPÄfS-Sllllple, de lever
liune des deux herses avant. l'autre, mais jamais ensemble. ll suffisait
pour cela, quand les herses elaient zlbaissees, et ne tiraient. plus sur
le lreuil par consequent, de (ltl(2l'0CllCl' les chaines de la herse qu'on
ne voulait pas lever, et. de 1l]2ll1(f!llVPBl' lc treuil, soit dans un sens, soil.
dans l'autre. L'une des herses levee, on la calail, on (leicrochait ses
ehaines, on rattachait. celles de la seconde, et l'on manceuxfrait le lreuil
dans l'autre sens. Il niest pas besoin de dire que des contre-poids
facilitaient comme toujours le levage. Pour baisser les herses, on
raccrochait. les chaines, el on laissait aller doucement. sur le treuil
l'une des herses, puis l'autre. L'obligation absolue de ne lever qu'une
des deux herses a la fois etait une securile de plus,et nous n'avons
vu ce sysleme adopte que dans cet ouvrage.
Mais il est necessziire d'examiner en detail le mecanisme des ponts
et des herses.
En A (fig. M), nous donnons le plan de la chambre de levage des
herses au niveau a de la coupe, et en B, le plan de la plflfe-fmalle do-
levage du pont au niveau b de la meme coupe. On observera (l'abord
que l'intervalle qui separe les deux tours, etqui couvre Pentree, donne
en plan une portion de cercle. Deux consoles cforment saillie sur
vu. 42