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PORTE
Les moyens d'attaque des places fortes de cette äpoque admis,
moyens qui ne consistaient qu'en un travail (le sape, fort long et po-
rilleux puisqu'il ätait impossible de battre en broche les tours et cour-
Jines donl, les murs avaient une forte cfrpaisseiu", faisaient que les
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assaillants (vlierchaient toujours a brusquer un assaut ou a surprendre
l'ennemi. Si les tours et courtines avaient trop de relief pour qu'il füt
possible de tenter une escalade, surtout lorsque les parapets etaient
garnis de hourds, on essayait (le s'introduire dans la place par sur-
prises ou par une zittaque brusquee sur les portes. Des lors les assie-
ges accumulaient autour de ces portes les moyens de defense; on
doublait les herses, les vantaux, les obstacles, et l'on separait. les
treuils de ces herses ilflll de rendre les trahisons plus difficiles. Ainsi,
dans lexemple que nous venons de presenter, on voit que la pre-
miere herse, celle qui ferme l'issue aliexterieuif, est manoeuvree du
haut; (fest-a-flire de Petage ou tous les (lefenseurs de la porte sont
reunis, ou se "trouve neeessairement, le capitaine. Les gens charges
(le cette manoeuvre, ainsi entoures du gros du poste, sous les yeux du
vu. lit