PONT
254
tenant aux poutres. Ces deux chaines äenroulaient, sur un treuil E.
dont le pivot tournait dans des douilles iixees (le nieme 51 ces murs
lateraux. Sous les pieces de bois B mobiles etaient scellees deux pou-
tres G fixes, sur lesquelles roulaient les petits rouleaux. En tournant
le treuil de a en c, on fäisait avancerle tablier mobile, qui franchissail
A c W 13
.1; I 1;;
l 1
K1: L X
"f
i
_ L X v] f
xi 1 X xx_xy
X f"? Hmfgfvf-n l" j f,"
W"
bÜ-fxx f 2j", fX
ÄÜÄÄ Ä1ff"' f f" f?! 5M, f Q-f
Un"! ' V, Ä
m Lfff"
fil jgTxf-w Wmzümmu WÄ 1-, e
Q Q si; f. QäIKÄÄJQÜÄu 1'
le fosse F, et venait s'appuyer sur la pile en H; en le tournant de a en
l), on faisait rentrer ce tablier sous le passage de la porte. La queuel
du tablier servait de contre-poids, et, permettait toujours (le passer
sur la (zhzunbre du treuil lorsque la passerelle elaii, avaneee. Un trace
perspeclif P fera mieux saisir ce mecanisme tres-siniple. Pour le rendre
plus intelligible, nous avons suppose que le mur laleral M, danslequel
sont scellees les poulies et les douilles du treuil, est deinoli; nous
avons enleve de nieme la maeonnerie superieure de l'une des lours
llanquuntes N, entre lesquelles s'avance la passerelle. Dans la figure
perspective, le tablier est suppose rentre. On eiablissait beaucoup de
ces sorles (le pouls dans les ouvrages italiens du xve siecle, ainsi que
le constate l'ouvrage si curieux de Francesco di Giorgio lllariiiiil, et
civ. e milit. cli Francesco di Gmrgio Jllartini, archit. snnese
la prcnliäre fois par 1e chevalier Cesare Saluzzo. 'I'urin, 181.1
' Truttato di. archit.
secolo XV, publie pour
del