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PLAFOND 
 Notre siccle, qui est un peu trop pänätro de la conviction qu'il in- 
vente chaque jour, ne doute pas que les plafonds composos de vou- 
tains de briques posces sur (les solivages de bois ou fer sont une inno- 
vation; or, voici (fig. 5, en A) un plafond posc dans une maison de la 
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{in du xve siecle, ä Ghartres, rue Saint-Pere, qui nous donne une com- 
binaison de ce genre. Les solives B sont posees sur l'angle et scelloes 
dans les murs; sur leurs plats b sont bourdes des voütains de briques 
posees en epi. Ces briques ont 3 CBIIÜIDÄBÜPES dlpaisseur sur '10 centi- 
metres de cote. Les reins G sont remplis de mzugoiinerie sur laquelle 
pose le carrelage D. Les solives ont 32 centinletres de (zote (un pied) 
et placees sur lu (liagonale; elles offrent une grande roideur. Ce pla- 
fond, d'une portee assez faible, produit un tres-bon effet, et peut faci- 
lement elre decore et maintenu propre. A Troyes, dans Photel de 
FAigIe, dit de Mauroy, rue de la Trinite, il existe un plafond du xve sie- 
cle, eniierement de bois (voyez le trace G), qui presente des solives