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199 I: PLAFOND ]
lavwaienl de tries-grandes portees, les constructeurs ne se faisaient pas
faute de les armer pour leur donner du roide et les empecher de fle-
chir sous le poids des solivages. Il est clair que ces sortes de planchers
prenaient loieaucoup de hauteur; mais nos devanciers ne craignaient
pas les saillies produites par les poutres, et les consideraient meme
comme un moyen decoratif.
Les poutres (fig. l) avaient en general peu de portee dans les murs,
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mais etaicnl, soulagees par des corbeaux de pierre plus ou moins sailf
lants. Si ces poutres etaient ornees de profils sur leurs aretes, ceux-ci
lfapparaissaient qu'au delä de lnportee sur les corbeaux. Dans les plan-
chers les plus anciens, les solives posent d'un bout seulement sur ces
poutres, ainsi qu'il est figure en B; de l'autre, dans une rainure pra-
tiquee dans la muraille, dans des trous ou surune lambourde G, comme
on le voit en D, laquelle lambourde est posec elle-meule sur des cor-
helets ou un profil continu. Gomme il arrivait assez frequenmlenti que